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AFRIK ESSOR
7 mars 2013

UN GRAND DE CE MONDE EST PARTI

Helas! un grand de ce monde vient de partir.Laissant dans l´aréne de la defense de la souveraineté des états,un grand vide,qu´il sera difficile de combler.Le defenseur des peuples bafoués,l´avocat de l´égalité des peuples,devant leur droit á la richesse et á l´autonomie s´est éteint devant un cancer, provoqué par un empoisement ,qu´il denoncait des forces occultes,imperialistes qui ne cessent d´avoir les yeux rivés sur la richesse petroliére du Venuzuela.

Ce merveilleux et vaillant peuple reste aujourd hui sans pére,sans president, sans guide. Qui pourrait continuer ce combat deja si durement entamé?

Nos condoleances á tout le peuple venuzuelien et á tous les combattants de la liberté du monde entier.

Waramba Joel

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Venezuela / Hugo Chavez est mort Que restera-t-il du chavisme ?


L’Intelligent d’Abidjan-7/3/2013

El Commandante n’est plus. Le commandant a passé l’arme à gauche. Après quatorze ans de règne Hugo Chavez, le Président du Venezuela est décédé à l’hôpital militaire de Caracas des suites d’un cancer du colon à l’âge de 58 ans. Il était au début d’un nouveau mandat de cinq ans après avoir remporté en octobre 2012 une élection présidentielle (58 % des suffrages) après laquelle son adversaire Henrique Capriles a reconnu sa défaite.

C’est le 2 février 1999 qu’il accède au pouvoir au terme d’une élection présidentielle. Pourtant, le militaire qu’il est a tenté en vain de renverser une fois le pouvoir du président Carlos Andres Perez avec un groupe de militaires le 4 février 1992. Il sera arrêté après sa reddition. Une anecdote dit qu’il a été contraint de prononcer un discours à la télévision nationale afin de convaincre ses camarades à déposer les armes, eux qui détenaient la majeure partie des casernes du pays après le soulèvement militaire sauf Caracas, la capitale. ‘’ Compagnons, lamentablement, pour le moment, les objectifs que nous nous étions fixés n’ont pas pu être atteints dans la capitale’’, tel est le message codé qu’il passe à ses amis dans l’improvisation. Hugo Chavez qui a pour modèle le Président cubain Fidel Castro, et fin admirateur du leader bolivien Simon Bolivar doit son salut à la destitution du Président Perez Carlos en 1993 pour détournement de fonds. Rafael Caldera qui succède à Perez lui accorde la grâce présidentielle, le trouvant moins dangereux hors de prison. Son destin venait ainsi de prendre une nouvelle tournure. Chavez, convaincu par son vieil ami communiste Luis Miquilena et certainement Fidel Castro (qui n’a pas soutenu son putsch en 1994) finit par réaliser que son destin présidentiel qu’il s’était forgé depuis son entrée dans l’armée en 1971, ne sera possible que par les urnes. Il subit aussi l’influence de son frère aîné Adan qui lui enseigne très tôt les rudiments de la pensée révolutionnaire. Humant à nouveau l’air de la liberté, Hugo Chavez entreprend une longue tournée de deux ans dans le Venezuela profond afin de s’imprégner des réalités de ses concitoyens. Ses principaux thèmes tournent autour de réformes sociales à entreprendre. Il promet des augmentations de salaire, redistribution des terres et la nationalisation des entreprises étrangères. Il est plus que jamais sous le charme du bolivarisme. Le 2 février 1999, enfin le jour de son jour. Hugo Chavez rafle 56 % des suffrages exprimés aux élections présidentielles. « El Commandante » peut alors réaliser son rêve. Le chantre du bolivarisme devient le chantre du socialisme du 21e siècle. Mais vite, il va y avoir hiatus entre la vision et la réalité politique. En 2002, il frôle de peu la destitution avec d’interminables grèves et des soulèvements. Mais le colosse reprend du poil de la bête. Il sort la tête haute et réoriente sa politique sociale non sans régler ses comptes. 19 mille travailleurs des industries pétrolières qui étaient les plus actifs lors de la contestation sociale sont licenciés. En 2005, l’opposition refuse de participer aux élections législatives. Hugo Chavez et son clan en profitent pour occuper la totalité des sièges au parlement. Il peut alors mener ses réformes sans entrave.

Les années Chavez. ’Ces années de pouvoir ont révélé un Chavez provocateur, cabot, combatif, surprenant parfois, mais surtout un homme qui adorait se mettre en scène. Chaque dimanche, il apparaissait dans un programme appelé «Alo presidente ». L’émission commençait en général vers 11 heures du matin pour durer plusieurs heures. Sans plan précis, le programme avançait grâce aux talents d’improvisation du Président. Il n’était pas rare qu’il pousse la chansonnette ou récite des poèmes. Il pouvait aussi licencier en direct des personnages importants de son administration ou annoncer la nomination de ministres clés, comme il le fit en 2004 en révélant le nom des nouveaux ministres des Relations extérieures et de l’Information. Ces dernières années, il avait habitué les Vénézuéliens à nationaliser des entreprises en direct’’, écrit le Figaro dans son édition de mercredi. Provocateur, Chavez l’était. C’est lui qui à la tribune de l’Onu en 2006 traitait le président américain Georges Bush de ‘’diablo’’ (le diable). L’homme au ton kadhafiste et grand orateur n’hésitait pas à soutenir ses pairs que les puissances occidentales vouaient aux gémonies en les classant dans l’axe du mal. C’est lui qui reçoit Mahmoud Ahmadinedjad de la République islamique d’Iran alors qu’il est harcelé par la communauté internationale pour son programme nucléaire. Anti-américain dans l’âme, Chavez n’a pas osé rompre pour autant la fourniture du pétrole aux Etats-Unis. Paradoxe ! Avec ses pétrodollars, il initie de grandes réformes sociales qui ont changé la vie de ses concitoyens en l’espace de 14 ans. Les soins de santé gratuits, l’éducation gratuite et une croissance soutenue oscillant entre 6 et 7 % l’an. Au moment où il meurt, le pays traverse quelques difficultés économiques. Mais, cela est à mettre au compte de sa longue maladie qui l’a éloigné de la gestion du pouvoir. Ses successeurs qui ont longtemps appris avec lui, sauront trouver les remèdes nécessaires dans ce pays qui compte près de 300 milliards de barils de réserves pétrolières, juste devant l’Arabie Saoudite. Chavez disparaît au moment où sa popularité est intacte. Des vénézuéliens l’adulent et le prenaient même pour un immortel. Sous cet angle, le chavisme a encore de beaux jours devant lui. Mais, pour certains observateurs, le mode de succession pourrait ouvrir des failles. Constitutionnellement, c’est le président de l’Assemblée nationale qui est le dauphin. Mais, Chavez a préféré le vice-Président Nicolas Maduro ancien chauffeur de bus, qui a d’ailleurs annoncé la nouvelle de sa mort tard dans la nuit.

Réactions. Hugo Chavez n’est pas trop connu de la rue abidjanaise comme nous avons pu en faire le constat. Il n’est pas le colonel Mouammar Kadhafi. Mais, sa diplomatie dans la région latino-américaine a fait de lui, l’icône du socialisme moderne. Si ses détracteurs le qualifient de populiste, ce n’est pas le cas de ses nombreux amis dans le monde qui ont instantanément réagi à son décès. Evo Morales de Bolivie s’est dit ‘’profondément anéanti’’. En Europe, François Hollande s’est dit ‘’attristé’’ par la nouvelle. Son amie Dilma Roussef du Brésil qui a soutenu l’entrée du Venezuela dans le Mercosur (marché sous-régional à l’image de la Cedeao) a salué un ‘’grand leader’’, évoquant même une ‘’grande perte’’. La bonne nouvelle vient surtout de l’opposition vénézuélienne avec Henrique Capriles qui a dit que Chavez n’était pas un ennemi mais un adversaire. Aussi a-t-il appelé à l’unité. ‘’C’est l’heure de l’union’’, a-t-il exhorté. La fausse note viendra des Etats-Unis qui ont placé un espoir dans une nouvelle ère de coopération sans présenter de condoléances. Ses funérailles qui dureront sept (7) jours débutent ce vendredi à Caracas. Plusieurs chefs d’Etats latino-américains y sont annoncés. El Commandante n’est plus. Le commandant a passé l’arme à gauche. Après quatorze ans de règne Hugo Chavez, lePrésident du Venezuela est décédé à l’hôpital militaire de Caracas des suites d’un cancer du colon à l’âge de 58 ans. Il était au début d’un nouveau mandat de cinq ans après avoir remporté en octobre 2012 une élection présidentielle (58 % des suffrages) après laquelle son adversaire Henrique Capriles a reconnu sa défaite.

Gabriel Ayite Baglo (Fédération internationale des journalistes): « Nous sommes heureux de la libération de Hassan Ruvakuki mais… » Présent à Abidjan depuis trois jours, Gabriel Ayite Baglo, directeur pour l’Afrique de la FIJ (Fédération internationale des journalistes) participera à une réunion de l’UNESCO sur le développement durable. En visite de courtoisie à la rédaction de l’Intelligent d’Abidjan, le président du Bureau Afrique de FIJ se réjouit de la libération du correspondant de RFI au Burundi. « Je suis très heureux de cette information. Nous avons été régulièrement à Bujumbura (capitale du Burundi), nous avons été à la prison de Gitréga. Nous avons soutenu notre confrère Hassan Ruvakuki. Nous avons produit beaucoup de déclarations. Le mardi 3 mars dernier, nous avons produit une déclaration parce que nos confrères du Burundi faisaient des manifestations chaque mardi pour sa libération. Je suis heureuse d’apprendre cette information dans la rédaction de l’Intelligent d’Abidjan. Dans les jours qui vont suivre, nous produirons une déclaration pour saluer cette libération et demander aux autorités burundaises de continuer à travailler avec la presse. Parce qu’elles ont besoin de la presse pour consolider la démocratie. Les journalistes ne sont pas des opposants. Ils ont pour rôle de surveiller les activités de tout le monde. Et Hassan Ruvakuki n’avait pas tort d’interviewer un rebelle. Ce n’est pas parce qu’on a interviewé un rebelle qu’on est aussi un rebelle. Ce n’est pas parce qu’on a interviewé un opposant rebelle qu’on est un rebelle » a dit Gabriel Ayite Baglo qui était à la rédaction de l’IA en compagnie du président de l’UNJCI, Moussa Traoré.. Patrick Krou

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Commentaires
H
au defense venizuela peuple venzuela polizia securite peuple venizuela ...<br /> <br /> APPEL URGENT ..<br /> <br /> suite a mes declarations notes rapport consequences vous etes devant des attacques mafia+seher+boss-mafia+capo-mafia..devant des masacres menaces tortures attention votre presence dans cet affaire est oblegatoire devant occupation proprietes investissments mes biens mes affaires attention un soutien aide est oblegatoire vers la liberte de mes affaires ici au maroc contre vole violence drogue terrorisme assassina gay sexe libre travestit une large costa devant tribunale a appliquez jugement a vous de prendre notes fin message declarations. NORDANE<br /> <br /> H.A lorde mareshalle majore hidar abdelaziz 'n'<br /> <br /> youtenany colonnel A E douane instructif<br /> <br /> conseiller juridique des nations unies <br /> <br /> police man. date 17/8/2014 heure 17h14.
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D
J'aime bien la prose utilisée tout au long de ce texte, elle est très expressive.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> gilbert
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AFRIK ESSOR
  • Decrire l actualites africaine selon le point de vue des peuples et non des politiques.Comment les populations africaines vivent et ressentent les crises militaro-politiques,le quotidien social.C est l espace ou le commun de la rue,peut se faire entendre..
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