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AFRIK ESSOR
15 juillet 2014

ALI BONGO-LE DINDON DE LA FRANCAFRIQUE AU CENTRE D´UNE POLEMIQUE MEDIATIQUE

Comment appeler un lion,si ce n´est un lion.Comment appeler un tigre si ce n´est par son nom.Comment appeler un pantin de la France sinon de la francafrique,si ce n´est par le diminutif de dindon ou de pantin.A l´image de toutes ces marionnettes de chefs d´Etats, incapable d´acceder au pouvoir que par l´aide des armes de la France. Et comme par leur nature, les pantins et les jacquets de la France, dilapident les fonds et les richesses de leurs nations au profit de la France, incapable de se tenir toute seule sur son economie et sur une politique economique loyale et integre.

A celui qui joue les dindons,on l´appelle par son nom.

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Info Koaci

Gabon
Gabon: Ali Bongo traité de «camelot» par la presse, indignation des autorités françaises
 
Gabon: Ali Bongo traité de «camelot» par la presse, indignation des autorités françaises
 Ali Bongo et François Hollande à Paris - 

Libreville le 15 juillet 2014 © koaci.com – En marge des célébrations du 14 juillet, Koaci.com a appris que les autorités françaises au Gabon ont été indignées de récentes attaques visant l'actuel chef de l'Etat gabonais, de la presse "africaine" basée en occident et plus particulièrement en France.

Un article très à charge, titré "Bongo, un camelot qui vend des mirages" de la lettre du continent, repris en fanfare par les anti-Bongo, serait à l'origine de l'indignation française. 

Alors que le numéro un gabonais n'a pas réagi à cette nouvelle "attaque" le visant sur son terrain des chantiers de l’émergence, si chers à ses yeux, nous apprenons, de sources diplomatiques françaises, que l'ambassadeur deFrance Search France au Gabon aurait, ce lundi soir, passé un coup de fil à ce dernier sans nul doute pour recadrer les choses suite à la véhémence observée à son égard par l'organe de presse basée dans l’hexagone.

 Ali Bongo étant à l’œuvre dans le rapprochement diplomatique entre Paris et Kigali et un acteur clé pour laFrance SearchFrance dans la crise centrafricaine au delà des accords de partenariat entre les deux pays sur nombre de chantiers en cours.

Côté français on murmure la volonté manifeste de nuire à l'image du président du pays, voire une orchestration de certains type de médias à des fins de nuisance dans une bataille de la communication lancée, de bonne guerre, en vue de la prochaine présidentielle en 2016.

Du côté du palais du bord de mer on minimise ce qui pourrait apparaitre comme une "insulte" de plus, comme habitué, préférant se concentrer sur les travaux en cours et les attentes pressentes des gabonais. 

Sous couvert d'anonymat, un proche conseiller d'Ali Bongo, ne souhaitant réagir ouvertement à l'article évoqué, comme pour ne pas lui donner écho voire crédibilité, finira néanmoins par confier suite à notre insistance, porter peu d'attention à la source de l'indignation française, classée parmi les médias d'un autre temps, qu'on articule avec de l'argent à des fins de nuisance.

Au Gabon comme ailleurs, tous les coups sont permis et tout indique qu'ils seront de plus en plus récurrents et intenses à l'approche de 2016.

Sylvain Moussavou-koaci.com
Le titre est de la redaction
Waramba Joel

 

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  • Decrire l actualites africaine selon le point de vue des peuples et non des politiques.Comment les populations africaines vivent et ressentent les crises militaro-politiques,le quotidien social.C est l espace ou le commun de la rue,peut se faire entendre..
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