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AFRIK ESSOR
27 juin 2012

TOGO-COTE D IVOIRE-LIBERIA:UNE ZONE DE NON DROIT SOUS LE SOUTIEN DE L' ONU

La Cote d' Ivoire de Alassane Dramane Ouattara serait-elle devenue le fer de lance d' une zone de non droit en Afrique de l' Ouest?

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Apres des tractations lugubres avec le president Faure du Togo, de pere feu le president Yassingbe Eyadema,sur l'arrestation du ministre refugié LIDA KOUASSI ,aujourd hui c' est le tour du Liberia de tomber dans l' ignominie politique,en extradant 41 personnes venus chercher refuge sur son territoire.Le droit fondamentale de tout citoyen a se refugier loin de la ou sa vie serait en danger,a ete encore foulé au pied par ce trio de presidents installés par la communauté internationale  a la tete des dits pays,malgre le choix de leur peuple.

41 personnes donc ,ayant fui la repression sanglante des ex rebelles de Dramane Ouattara,ont ete deportes vers les camps de concentration en Cote d' Ivoire.Et cela avec l' aide de la MINUL et de l' ONUCI.Impliquant du coup la violation de tous les traites fondamentaux et de toutes les valeurs contenu dans la signature du traite des nations Unies.Va t-on progressivement vers une zone de non droit ou des presidents popurraient violer des lois et regles internationales? L´ONU peut -elle encore remplir sa mission de protection des peuples en Cote d´Ivoire?

Le doute est de jour en jour encore plus grand...

Dois encore accorder a l´ONU un credit quelconque sur sa mission d´interposition ,de protection des peuples en danger en Cote d´Ivoire? L´ONUCI ne s´est-ell pas muee en deuxieme armee pour Ouattara? Commentez librement...

Lisez la suite pour plus de details ...source RFI.FR

Le Liberia aurait extradé 41 miliciens ivoiriens sans respect des règles en vigueur
Le commandant Losseni Fofana et ses hommes, près de la frontière libérienne le 17 juin 2012.
Le commandant Losseni Fofana et ses hommes, près de la frontière libérienne le 17 juin 2012.
REUTERS/Luc Gnago
Par RFI

L'extradition de 41 Ivoiriens du Liberia vers la Côte d'Ivoire s'est faite en dehors des règles en vigueur. Ces jeunes hommes suspectés d'avoir servi durant la crise postélectorale dans les milices pro-Gbagbo sont arrivés dans la nuit du 23 au 24 juin à Abidjan. Après avoir été transférés de Zwedru à Abidjan avec l'appui des casques bleus de la Minul, Mission des Nations unis au Liberia puis de l'Onuci, Opération des Nations unies pour la Côte d'Ivoire, ils ont été conduits à la DST, Direction de la surveillance du territoire. Mardi, ils étaient encore détenus au siège de la police dans le quartier du Plateau.

Les 41 ex-miliciens présumés attendaient le 26 juin encore d'être entendus par un juge d'instruction. Selon nos informations, ils n'ont pas été maltraités mais au sein de l'Onuci, Opération des Nations unies pour la Côte d'Ivoire, les conditions de leur extradition suscite un certain malaise.

Personne ne conteste leur appartenance aux milices pro-Gbagbo durant la crise postélectorale, mais d'après plusieurs sources onusiennes, la justice libérienne a pris certaines libertés avec le droit en rendant sa décision.

Tout d'abord, la demande d'extradition ivoirienne n'aurait pas respecté les formes car la requête ne spécifiait ni le nom des personnes concernées, ni les infractions qui leurs sont reprochées. Ensuite, 11 des 41 extradés avaient fait une demande d'asile après leur entrée au Liberia. Mais contrairement aux règles en vigueur, le HCR, Haut commissariat aux réfugiés, a été tenu à l'écart de la procédure judiciaire.

Enfin, l'appel de leurs avocats, qui aurait dû être suspensif, a été totalement ignoré par le tribunal de Zwedru. Dans ces conditions, la justice libérienne, qui pendant près d'un an s'était montrée incapable de juger ces jeunes Ivoiriens, semble avoir pris sa décision pour des motifs politiques et pour donner des gages à son voisin ivoirien.

Selon nos informations, ces ex-miliciens présumés devraient prochainement être inculpés de crimes de sang et d'atteinte à la sureté de l'Etat. Quant au respect scrupuleux du droit, il ne semble pas être une priorité. Mardi, une source judiciaire ivoirienne concédait : « On les voulait. On les a. Peu importe la forme ».

Source: http://www.rfi.fr/afrique/20120627-le-liberia-aurait-extrade-41-ivoiriens-respect-regles-vigueur

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